Comment en êtes-vous arrivée à devenir photographe ?
Ado, je photographiais mes potes quand on faisait du skate et du snowboard. C’était dans les années 90. C’était des sports en plein essors. Je passais beaucoup de temps à décortiquer les photos des magazines spécialisés pendant les heures de cours, du coup je me suis orienté vers un CAP puis un bac professionnel métier d’art, option photographie.
Un modèle, une influence, un mentor ?
Il y a beaucoup de photographes qui m’influencent dans différents domaines. Je ne vais pas citer tous les grands noms de l’âge d’or du photojournaliste que je garde en mémoire, mais il y a des photographes moins connus du grand public qui m’inspirent chaque jour, comme French Fred, Chris Malloy, Thomas Campbell, Aleksey Myakishev, Jeremy Koreski et Jason Lee, pour ne citer qu’eux.
Quand vous étiez enfant, vous rêviez d’être…
…vétérinaire !
Définissez-vous en trois mots
Libre, contemplatif et passionné.
Vous avez 5 minutes de temps libre, là, maintenant tout de suite. Vous faites quoi ?
Je prends ma canne à pêche et je vais poser quelques mouches artificielles à la surface de l’eau. La pêche à la mouche, une de mes grandes passions !
Vous ne pouvez pas passer une journée sans…
…aller dans la nature avec mon chien.
Avouez-nous une petite manie franchement inavouable
Ça m’énerve quand mes potes ne like pas mes photos sur Instagram !
L’objet que vous emportez partout, tout le temps, par tous les temps ?
Mon leica m6 avec une pellicule de trix 400 iso. La photographie argentine, encore une autre passion loin des likes et des écrans.
Merci et à tout de suite dans votre boîte mail !
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